Le travail en réseau constitue la base de la nouvelle politique de santé mentale pour enfants et adolescents. Tous les partenaires des soins de santé mentale doivent assumer leur rôle dans les réseaux. Du point de vue des autorités, il est impensable qu'un partenaire des soins de santé mentale refuse de participer à un réseau ou ne souhaite pas assumer ses engagements au sein de celui-ci. Le refus de participer à la nouvelle politique implique qu’un financement supplémentaire ne sera pas octroyé, tant en ce qui concerne les moyens financiers de l'autorité fédérale, qu'en ce qui concerne les moyens historiques ou futurs de toutes les autorités concernées.